Paris, Bataclan, Charlie : je suis ici et ailleurs
Je suis – nous sommes Charlie, Bataclan – Paris, ici et ailleurs…
- Mise à jour : 18/11/2015 — Publié : 7/01/2015
Dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14/10/2015, des barbares terroristes ont une nouvelle fois perpétré leurs crimes abjects en agglomération de Paris contre des citoyens épris de liberté. Vade retro Satanas !
La Liberté d’expression — qui est un droit fondamental — et la Démocratie restent plus fortes que la bestialité de ces assassins sans foi ni loi.
Ils s’appelaient Lucie, Romain, Hyacinthe, Fabrice… Ils sont morts dans les terribles attentats qui ont frappé Paris ce 13 novembre. Nous leur rendons hommage.
1 3 0 MORTS : Voici le dernier bilan des attaques perpétrées à Paris vendredi 13 novembre. Un décompte extrêmement lourd – le plus meurtrier jamais enregistré en France. Derrière ce chiffre macabre, il y a autant de vies brisées et de familles en deuil.
Rendons aussi hommage à tous les hommes, femmes et enfants à travers le monde que ces barbares sanguinaires exécutent froidement. Tous ces morts sont aussi les nôtres. La Liberté n’a pas de frontière, elle est universelle.
L’Amour et le Bien vaincront !
JB Bullet : Chanson « Je Suis Charlie »
que nous dédions aussi à nos morts et blessés de Paris et Saint-Denis.
Le Monde : « Charlie Hebdo » visé par une attaque terroriste, la rédaction décimée – 7/01/2015
« La rédaction du journal satirique Charlie Hebdo, au 10, rue Nicolas-Appert, dans le 11e arrondissement de Paris, a été la cible d’un attentat terroriste, ce mercredi 7 janvier en fin de matinée.
12 morts, 11 blessés, dont 4 grièvement
Douze personnes ont été tuées dans l’attaque, dont huit journalistes, parmi lesquels les dessinateurs Charb, Cabu, Wolinski et Tignous, et deux policiers, selon une source judiciaire contactée par Le Monde. Bernard Maris, chroniqueur pour Charlie Hebdo et France Inter, a également été assassiné dans les locaux de l’hebdomadaire. On ignore encore l’identité des trois autres journalistes assassinés.
Armés de kalachnikovs, les terroristes ont tiré sur la personne qui se trouvait à l’accueil, avant de monter à l’étage pour atteindre la rédaction de Charlie Hebdo. Les journalistes étaient alors en pleine conférence de rédaction hebdomadaire. Les assaillants ont commencé à tirer sur les dessinateurs et journalistes, comme l’a relaté Coco, dessinatrice au journal, qui a précisé que les hommes « parlaient parfaitement le français » et « se revendiquaient d’Al-Qaida ».
François Hollande a décrété une « journée de deuil national » en France le 8 janvier 2015 et renouvelé son appel au rassemblement du pays, après l’attentat. « Notre meilleure arme, c’est notre unité.
Rien ne peut nous diviser, rien ne doit nous séparer », a déclaré le chef de l’État lors d’une adresse courte et solennelle à la Nation retransmise sur les chaînes de télévision. Les drapeaux seront aussi mis en berne pendant trois jours, a précisé François Hollande… »